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26/01/2011

De Vinci était gay…

…jusqu’à preuve du contraire.

J’ai découvert hier en regardant D’art d’art, cette rocambolesque preuve possible de l’homosexualité de Leonard de Vinci. Dans tous ses écrits, il ne parle qu’une seule fois des ses rêves d’enfance, il dit : « il me semble qu'un vautour a volé jusqu'à moi, m'a ouvert la bouche de sa queue et l'a plusieurs fois battue de-ci de-là entre mes lèvres ». Les savants psychanalystes interprètent ce rêve comme un désir caché de sucer un pénis, ce qui ne parait pas trop incongru vu qu’en italien la queue désigne aussi le sexe de l’homme. D’autres pensent que c’est un souvenir du plaisir éprouvé en buvant du lait maternel, transformé en désir homosexuel via des symboles et représentation égyptiennes, là je trouve l’explication un peut trop tirée par les cheveux. Personnellement, j’aurais conclu en examinant la beauté de ses apprentis et la masculinité que certaines de ses représentations féminines ont. Certes, j’aimerais qu’on puisse prouver qu’un des plus grands savants que l’humanité n’a jamais connu appartient à la communauté, mais si ce n’est pas le cas ce n’est pas grave. Et après tout au XXIè où l’homosexualité ne pose plus aucun problème, ses préférences sexuelles devraient être aussi relevantes que son amour pour l’huile d’olive ou les oiseaux, n’est-ce pas ?

NB il y a bien une phrase polémique à la fin

Commentaires

En italien, la queue désigne le sexe de l'homme certes, mais le terme désigne aussi l'instrument du peintre, à savoir le pinceau qui se dit "pennello". Le mot vient du latin "peniculus" ("petite queue"). Tout ça pour dire qu'on peut voir aussi dans le rêve de Léonard un rêve vocationnel...

Écrit par : GF | 23/02/2011

Merci pour l'info qui permet une autre interprétation. Je me coucherai moins bête ce soir ;-)

Écrit par : Mers | 24/02/2011

"NB il y a bien une phrase polémique à la fin"

Oui, carrément.
Utiliser un barbarisme aussi odieusement angliciste que "relevantes" pour "pertinent", ça devrait être interdit !

Écrit par : e | 18/03/2011

Honte à moi de faire évoluer la langue de Molière vers celle rabattue de Shakespeare qui sort de celle de Rabelais...

Écrit par : Mers | 21/03/2011

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