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24/11/2011

48 images immortelles

L’œil n’a besoin pour identifier un mouvement que de 24 images par seconde, lorsqu’il s’agit de montrer les muscles saillants d’Henry Cavill ou de Kellan Lutz en 3D, il en faut le double grâce à notre vision stéréoscopique. Dans ce chef d’œuvre du péplum digital, le sang et les dieux découvrent l’élasticité einsteinienne du temps, le metteur en scène a le mérite d’avoir découvert qu’après une explosion -à laquelle on survit miraculeusement- les tympans sont endommagés et que pour tuer quelqu’un il suffit de lui couper l’aorte et la vaine fémorale pour qu’il se vide de son sang en 2 ou 3 minutes -le guerrier peux ainsi économiser ses force pour couper les corps suivants en deux ou trois morceaux avec son épée-. On découvre aussi une belle incursion d’un concept de la cosmogonie nordique -les dieux ne sont ni immortelles ni toujours vainqueurs- pourquoi pas, de toute façon le publique à qui est destiné ce film ne pas censé connaître ces nuances –ni la mythologie grecque, sinon on s’arrache les cheveux- Ce qui me ramène à Henry Cavill et Kellan Lutz, le publique cible ne peux pas succomber à leur arguments, alors pourquoi ils sont là ? Pour faire joli ?  Plaisir au 6% des hommes qui s’y intéresse* ? ou parce que les hommes hétéro aiment voir à quoi ils pourraient ressembler après 10 ans de musculation et privations alimentaires ? Je ne comprendrais jamais cet argument, quel plaisir ils y trouvent ? Est-ce la preuve qu’au fond d’eux un homo sommeille ? –je l’espère pour certains d’entre eux, mais pas pour celui qui a fait ch%er avec son iphone pendant toute la séance-

*les femmes sont écartées à cause du trop plain de  sang et du manque de sentiments dans le film

10/11/2011

Garçon d’honneur

Comme très souvent à cette époque nous n’avions rien à faire, nous avions décidé d’aller regarder une cassette vidéo, on nous avait dit qu’il s’agissait de films corrects à l’eau de rose tout public, le hasard a donc choisi Garçon d’honneur (The Wedding Banquet, Ang Lee, 1993). Il s’agit peut-être du premier film gay de toute ma vie, deux scènes m’ont marqué particulièrement, dans l’une, l’un des protagonistes –très probablement le blond- se promène en sous-vêtements, dans l’autre les deux amoureux essaient tant bien que mal de maintenir leur relation malgré la présence des parents de l’un chez l’autre, pour y arriver, ils sont obligés de se parler la nuit au téléphone même s’il n’y a qu’un couloir qui les sépare. Je pense que c’est la première fois que j’ai vu filmé l’amour entre deux hommes, rien ne m’a choqué malgré l’âge que j’avais, j’ai trouvé cela très beau, très touchant, beaucoup plus que dans un film hétérocentré.

17:05 Publié dans Film | Commentaires (0)

16/08/2011

MenOBoy de XXX à XX-

Un passé de croissance stable….comme exposé précédemment les bases artistiques sont solidement posés, l’amélioration continuelle de la qualité du contenu et de la réalisation laisse présager une santé artistique stable …qui a permis la prise de quelques risques… en effet tenter de plaire à certaines niches du publique, spaking fans, footballer fans,  tout en contentent un large publique par l’intégration de scènes moins ciblés dans ces productions,  est un pari assez difficile à réussir. Il semble avoir été gagné lorsqu’on regarde l’envergure des projets annoncés depuis la sortie de ces volets dédiés à des sous-communautés …mais qui peuvent  fâcher le public habituel…ainsi nous découvrons avec consternation la présence d’une scène pour le moins inattendue de la part de cette société de production, au sein d’une semaine spéciale hétéro ou les classiques Hétéro curieux et Double expérience pour un hétéro montrent le pouvoir qu’a l’argent sur les personnes, nous découvrons la « première vidéo hétéro réalisée par le Studio Menoboy » elle a été tournée sous prétexte que « Jessy Dog [ndlr le garçon montré dans cette scène] les a contacté afin de tourner une scène hétéro » pour après se laisser convaincre d’être le protagoniste de la prochaine grosse production hyper virile de la maison, Incarcération . Ce dérapage représente un choix contestable de la production néanmoins acceptable du point de vu marketing, cette opération entraînerait la création d’un image utravirile et justifié de l’acteur concerné et la capacité du studio a recruter le fantasme pur d’une partie de la communauté homosexuelle néanmoins , il est nécessaire au moindre signal de sanctionner cette alternative en dégradant la note de confiance artistique du studio en passant de XXX à XX- accompagnée d’un tendance incertaine.

08:35 Publié dans Film, Gay | Commentaires (0)

22/03/2011

MenOBoy

Quelque part entre 2004 et 2005, en cherchant à me procurer une vidéo de plus de trois secondes avec garçons sachant s’amuser entre eux, je suis tombé sur une scène gratuite, certainement publicitaire, se déroulant dans l’escalier d’une maison baigné de soleil, deux magnifiques jeunes hommes se consacraient au plaisir mutuel. Selon mes souvenirs, l’un avec un tatouage solaire s’attelait aux activités communément réservées aux passif, tandis qu’un actif à la casquette bleue jouait sa racaille HCH*, entre deux coups de reins dans les profondeurs abyssales le fond sonore dénonçait une conversation sur MSN,  soudain, un troisième type dont on aurait pu bien s’en passer est descendu pour s’immiscer dans ce duo d’éphèbes. C’est ainsi que j’ai connu le studio montpelliérain de Ludo, MenOBoy. Je surveille depuis ce jour-là leur travail de près, j’ai vu l’apparition de films et scènes de la maison, la construction et évolution des sites Internet et du blog. J’ai presque toujours admiré dans ses productions les beaux garçons frais francophones dégotés, légèrement musclés, sans jamais tomber dans l’excès. Leur jeu laisse penser qu’ils aiment ce qu’ils font, qu’ils aiment les hommes et le sexe entre eux. Suivant le titre du film, les scénarii dignes concurrents à chaque fois aux Framboises d’Or, délassent, amusent ou exaspèrent, ils ont au moins le mérite de présenter les participants dans des « tenues de ville » et dans des situations simples, irréalistes et pas trop coquines. Tout à été balayé : la P’tite Frappe, les Dérapages des policiers, les médecins En cas d’urgence, les Sapeurs pompiers, les mecs en prison,  les correction par la fessée, les Naufragé des îles inhospitalières mêmes les confessions intimes de la vie en colloc’. Certaines images hantent toujours et encore mon esprit, la vision d’une belle cambrure, de fesses moulées, des pénis virils, des épaules musclées, des pectoraux dessinés mais aussi celles des visages jubilatoires qui sont si rares à voir dans le porno, pourtant c’est tellement beau de voir des corps jouissifs accompagnés d’expressions réjouissantes qu’on en demande plus et plus à chaque fois que ce sourire unique et ses yeux presque exorbités accompagnent leur et notre cri orgasmique.

Merci pour ces productions !

*HCH=homme couchant avec un homme, personne bien différente d’un gay

03:28 Publié dans Film, Gay | Commentaires (0)

25/11/2010

Rio

Rio peut faire penser à la chaleureuse ville brésilienne où au fleuve que de milliers des migrants latino-américains doivent affronter pour vivre le rêve cauchemardesque américain. Pour moi, depuis quelque temps, trois semaines peut être, il incarne quelqu’un, un homme qui a accompli une tâche qui la rendu visuellement unique de par ce qu’il transmettait. Je regardais sur la toile un film où des gentils messieurs très légèrement vêtus (un jockstrap pour trois) se donnaient à cœur joie à des pratiques visant à leur procurer du plaisir. Je passe sur les actions communément accomplies dans ces chefs d’œuvres pour raconter ce qui m’a mis dans tous mes états. L’homme au suspensoir se trouvait sur son dos les jambes sur les épaules d’un autre qui était début usant de sexe pour faire du bien à l’homme au sous-vêtement, un troisième faisait de même avec l’homme début, ce qui accélérera la jouissance du bienheureux du milieux, quelques instants avant sa déflagration, il se retira et se débrouilla pour placer sa semence sur les fesses arrondies entourant le trou d’où il venait de sortir. D’habitude, la montée de plaisir à l’écran s’arrête là, mais dans ce cas, ça a continué. Le bienheureux jouissif, d’agenouilla pour être à la hauteur de ce qu’il venait de cracher. Il commença à s’en délecter, il passait sa langue sur toute la surface des fesses de son compagnon pour récolter son sperme et il en prenait du plaisir son visage le montrait, (il fermait les yeux, sa langue et se joues savouraient son nectar et laissant transparaître du plaisir à travers ses gestes) tellement qu’après avoir tout nettoyé avec sa langue, il recracha le tout pour en recommencer et m’époustoufler tellement il avait l’air d’aimer ça. Cela a été plus excitant qu’une éjaculation normale sur n’importe quelle partie du corps.
Comme je suis un fervent défenseur du safe-sex*, je me dois de commenter cette pratique qui pourrait être dangereuse sous certains cas. Si le bienheureux jouissif avait éjaculé directement sur les muqueuses du beau passif, il aurait enfreint une règle du safe-sex, heureusement il ne l’a pas fait. L’autre partie est plus délicate, il ne faut jamais déguster le sperme d’un inconnu mais ici s’agissant du sien, on peut le pardonner tout en attirant l’attention sur le fait qu’en jouant et avalant le sien, il peut inciter à effectuer cette pratique pas sûre.

*Sexe sûr, c’est moche.

12:19 Publié dans Film, Gay | Commentaires (0)