Sur le port d’Amsterdam 1

4 ans après ma première visite, les arcs-en-ciel décorent aussi bien tous les quartiers de cette ville, à les voir si éloignés les un des autres, on aurait l’impression que le quartier gay n’existe pas à proprement dire. Comment m’empêcher de rentrer dans toutes ces petites boutiques labellisée communautaires, spécialement dans celles affichant des beaux produits d’Andrew Christian ou ES ? La première option est m’emmener faire le tour du Rijksmuseum ou du Mauritshuis où l’on peut voir tellement de Rembrandt, Rubens ou Vermeer dans des si bonnes conditions (autrement dit sans que les touristes agaçants et incultes qui n’ont aucune envie d’être dans le musée soient derrière toi et qui ne vienne que pour pouvoir dire « oui je suis allé ») que je resterais des heures devant chaque tableau, mais ce n’est pas l’option correcte. Me faire faire le tour d’absolument tous les canaux que cette Venise hollandaise possède et ainsi marcher 7 heures par jour avec comme seule pose une tranche de tarte à la pomme ? Non plus, en général même fatigué lorsque je veux me rendre dans un de ces endroits qui peut être éventuellement à l’autre bout de la ville, je le fais sans tenir compte de ma fatigue. La pluie pourrait me contraindre à changer mes plans  mais moi, muni d’un parapluie, je n’ai peur de rien et qui n’ pas connu les Pays Bas sous la pluie ne les a pas vraiment connu, trois jours de soleil si au nord de la Méditerranée ce n’est pas normal. Me poser de question ridicules comme : Crois-tu que dans cette boutique de chaussures, les chaussures sont différentes de celles qu’on peut acheter ailleurs ? Il est vraiment hollandais ce chat ? Te souviens tu du prix de cet article dans cette autre boutique dans laquelle on est passé il y 2 jours ? Presque tellement je suis agacé par ce type de questions mais non. En réalité 2 choses m’ont empêché de le faire…