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21/10/2011

Le peintre maudit de Wartburg

Au sens propre comme au figuré le mont de Venus était présent sur scène et les charmes de la déesse déterraient les plus bases instincts chez ceux sensibles à ses charmes, malgré leur comportement lascif, on aurait pu penser qu’ils se battaient en petite section pour un  pot de peinture rouge. C’est dans une constante profondeur que cette soirée a été jouée, la musique ne devait à aucun moment égayer le spectateur mais lorsqu’elle devait le faire plonger dans les abimes, son inertie le lui empêchait. C’est peut être grâce à la qualité de la partition que malgré ce handicap certains moments de détresse étaient réussis. Curieusement mais sans être surprenant, quelques notes me transportaient dans ma mémoire ici et là. A force de fréquenter assidûment l’opéra j’ai remarqué quelques détails minimes qui m’auraient échappé encore il y a quelques temps comme ce choriste qui a commencé 2 fois en retard ses morceaux, qu’on lui coupe la tête…euh non ce n’est pas le bon opéra.

 

17:35 Publié dans Opéra | Commentaires (0)

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