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15/03/2012

Violence verbale

Ne pas savoir exprimer ces émotions peut engendrer de la violence physique, en tout cas cela a été dit une fois il y a des années dans le quotidien de référence. Pas plus tard qu’avant hier en écoutante la complainte de Don Ottavio et les airs de Doña Anna et Doña Elvira, je savais que j’allais m’énerver contre moi-même quelques heures plus tard. Il m’est toujours très simple de dire « C’était triste comme il le fallait », « J’ai beaucoup aimé » ou « Les sentiments étaient au rendez-vous » mais je ressens un besoin de plus en plus fort de pouvoir dire exactement ce qui m’a fait ressentir de la joie, de la tristesse ou tout autre sentiment en écoutant une ouverture, un air, un duo, etc. Est-ce une note exécutée à la perfection ? Une technique particulière de chant ? Je ne sais pas. En attentant de savoir par quels moyens je commencerai à combler ce manque, je ne pourrai dire que : « Putain, il maestro a fait un super travail, je suis con, comment j’ai pu bouder cet œuvre, le surnommé opéra des opéras ?, merde, pour la deuxième fois, la voir en live m’a convaincu, presque converti »

08:21 Publié dans Confession, Opéra | Commentaires (0)

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