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14/09/2012

Bavière à moi

Vert turquoise laiteux, fraîche et rapide, calme et enivrante, l'eau de cette rivière appel à la baignade, c'est le chant d'un jeune nyxe du fond de la rivière le responsable. Les arbres bourgeonnants du début du printemps ceinturent le lit du fleuve, en s'élargissant, les parcs pour flâneurs apparaissent, on oublie que la ville est juste là, à quelque mètres. Elle est typique, ancienne, baroque, classique et moderne. Les cicatrices de la grande guerre sont visibles et cautérisées par le béton laid mais fonctionnel mettant en valeur les pépites anciennes. Les traditions se présentent plus souvent que ce qu'on attend, manger avec les mains ce Weisswurts à la moutarde douce, boire une petite Weissbier ou manger un grand Bretzel, le tout voyant passer ces jeunes et magnifiques blonds parés de chemise aux carreaux colorés et pantacourts en cuir. Les longues promenades mènent à des découvertes de tous genres, trésors artistiques exposés dans des musées de premier rang, plats typiques caressant les papilles mélangeant allègrement viande, fromage, panure, pommes de terre, concombre et crème-fraîche, ou bien tous ces beaux autochtones qui croisent, tiennent le regard et sourient. Plus loin, les faste des palais construits par les dirigeants de ces terres éblouit et invite à revenir, les promenades seront élargies et nous mèneront certainement découvrir la folie des châteaux de contes de fées.

15:51 Publié dans Voyage | Commentaires (0)

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