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14/04/2011

Service Militaire 2/3

Pendant que je continuais à le masturber, chéri décida de porter les baisers que sa musculature accaparait vers ses lèvres, lorsqu’il s’en approcha une détournement sec de sa tête nous indiqua pour la première fois qu’il n’étais pas d’accord. Ma main montait et descendait vigoureusement aidée par le precum qui commençait à couler. Une seconde tentative de l’intégrer à notre jeu fut soldée par un chèque, ce magnifique étalon ne voulait pas toucher à la virilité. Que faire donc de cet homme qui avait fini par croiser les bras sur tel un pharaon, qui regardait dans le vide en direction du film pornographique, qui ne désapprouvait qu’on le consomme, qui ne montrait pas d’enthousiasme et qui était, si on ose le dire, tétanisé dès le début ? Le désir que nous même générions en arpentant un corps si divin et si rarement accessible nous a fait tenir.

Pour une fois, en sentant bouger les muscles de ses cuisses que je saisissais, j’ai cru qu’il allait se détendre et commencer à nous montrer qu’il prendrait du plaisir ou a pire jouir, rien de tel, son sexe imbibé de precum durcit juste. J’aperçus qu’il n’était pas circoncis et mon va-et-vient manuel gagnait ainsi en ampleur. Une deuxième, puis une troisième modification de la tension de ses muscles accompagnées par une poussée de mon désir me trompèrent, cette éjaculation que j’attendais tant tardait à venir. Je laissai donc chéri se concentrer sur l’exploration de son épiderme et je passai à la vitesse supérieur pour l’honorer, ma main gauche malaxa un court instant ses boules pour les faire remonter de part et d’autre de son instrument et exposer un peu plus son entre jambe. Mon doigt se faufila pour appuyer fortement sur son périnée. J’accélérai la cadence, plus vite je le masturbais plus fort j’appuyais sur cette région, au bout de quelques minutes, une relâchement de cuisses, un basculement vers l’arrière de la tête, une caresse de son propre épaule, un inaudible souffle ressenti, un sexe instantanément plus raide et le graal arriva, je sentis remonter tout au long de sa verge chacun des jets qui s’éparpillèrent sur son ventre, son abdomen, ses pectoraux et ma main. Pendant que chéri administrait les dernières caresse et baisers, je nettoyai la sève de l’Apollon avec sa propre serviette. Avec un visage détendu, un sourire jusqu’aux oreilles il calqua ma main, nos doigts s’entrelacèrent alternativement, avec ma main prise entre ses doigts forts et rugueux il nous confia sa gratitude d’un « Thank you, boys ! » Chéri pour le remercier essaya de l’embrasser, cette fois-ci il ne se retira pas, j’ai donc profité de l’élan pour poser ma main sur sa joue, tourner son visage et coller les lèvres aux siennes, il me remercia une seconde fois.

12:03 Publié dans Anecdote, Emois, Voyage | Commentaires (0)

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