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25/11/2010

Rio

Rio peut faire penser à la chaleureuse ville brésilienne où au fleuve que de milliers des migrants latino-américains doivent affronter pour vivre le rêve cauchemardesque américain. Pour moi, depuis quelque temps, trois semaines peut être, il incarne quelqu’un, un homme qui a accompli une tâche qui la rendu visuellement unique de par ce qu’il transmettait. Je regardais sur la toile un film où des gentils messieurs très légèrement vêtus (un jockstrap pour trois) se donnaient à cœur joie à des pratiques visant à leur procurer du plaisir. Je passe sur les actions communément accomplies dans ces chefs d’œuvres pour raconter ce qui m’a mis dans tous mes états. L’homme au suspensoir se trouvait sur son dos les jambes sur les épaules d’un autre qui était début usant de sexe pour faire du bien à l’homme au sous-vêtement, un troisième faisait de même avec l’homme début, ce qui accélérera la jouissance du bienheureux du milieux, quelques instants avant sa déflagration, il se retira et se débrouilla pour placer sa semence sur les fesses arrondies entourant le trou d’où il venait de sortir. D’habitude, la montée de plaisir à l’écran s’arrête là, mais dans ce cas, ça a continué. Le bienheureux jouissif, d’agenouilla pour être à la hauteur de ce qu’il venait de cracher. Il commença à s’en délecter, il passait sa langue sur toute la surface des fesses de son compagnon pour récolter son sperme et il en prenait du plaisir son visage le montrait, (il fermait les yeux, sa langue et se joues savouraient son nectar et laissant transparaître du plaisir à travers ses gestes) tellement qu’après avoir tout nettoyé avec sa langue, il recracha le tout pour en recommencer et m’époustoufler tellement il avait l’air d’aimer ça. Cela a été plus excitant qu’une éjaculation normale sur n’importe quelle partie du corps.
Comme je suis un fervent défenseur du safe-sex*, je me dois de commenter cette pratique qui pourrait être dangereuse sous certains cas. Si le bienheureux jouissif avait éjaculé directement sur les muqueuses du beau passif, il aurait enfreint une règle du safe-sex, heureusement il ne l’a pas fait. L’autre partie est plus délicate, il ne faut jamais déguster le sperme d’un inconnu mais ici s’agissant du sien, on peut le pardonner tout en attirant l’attention sur le fait qu’en jouant et avalant le sien, il peut inciter à effectuer cette pratique pas sûre.

*Sexe sûr, c’est moche.

12:19 Publié dans Film, Gay | Commentaires (0)

22/11/2010

La plume de Dumbo

Lorsque j’étais enfant de 5 ans environ et je regardais Dumbo, deux scènes m’interpellaient à chaque fois, lorsqu’il est dérobé à sa mère, certainement parce que j’avais peur d’être séparé de ma mère, ce qui aurait été vachement peu probable, et lorsqu’il perd pendant une chute libre sa plume magique qui lui permet de voler car à chaque fois je pensais qu’il n’allait pas y arriver. Puis avec l’age, j’ai oublié ces deux scènes, jusqu’à ce qu’on me rappelle en 2de celle de la plume magique. On préparait un control d’histoire-geo et d’après certains de mes collègues de classe, la seule façon de le réussir était de s’asseoir aux mêmes places que pendant le contrôle précédant, ce à quoi j’ai rétorqué que cela devait être vrai car ils allaient répondre au contrôle de façon collective et non individuelle. Une de mes amies parmi eux a riposté « mais non, c’est notre plume de Dumbo être assis les uns à côté des autre nous rassure et ainsi nous répondons au contrôle sans problème » sur l’instant je n’ai pas cru a cette excuse, surtout vu le profil d’un des gars ressentant ce besoin. Avec le temps, j’ai pu apercevoir que ce concept de plume de Dumbo est beaucoup plus rependu. Le stylo ou le feutre pendant les exposées, les petites pièce ou la médaille qu’on a toujours lorsqu’on a besoin de se sentir rassurés sont des exemplifications de cette plume Disney, même moi à une période j’avais la figurine d’un orque dans la poche le jours des grands examens. Ces objets ne possèdent pas de super pouvoirs métaphysiques décidant de l’avenir mais au moins rassurent en partie pour réussir l’examen, le rendez vous ou l’entretien qu’on veut avoir.

12:18 Publié dans Anecdote, Idées | Commentaires (0)

19/11/2010

Dogons, égyptiens, extraterrestres et divisions

Je suis tombé par hasard sur un article décrivant en 3 lignes les magnifiques connaissances en astronomie de Dogons qui apparemment sont issues des extraterrestres qui les ont données aux égyptiens puis aux babyloniens, aux grecs, aux druides, aux templiers et à mon arrière grand-mère avant d’être synthétisées dans une tablette où un truc dans ce genre. Ce qui m’a fait tout de suite penser à un livre que j’ai lu lorsque j’étais adolescent nommé Le mystère de la pyramide ou équivalant. Ce livre tente de montrer, je dis bien montrer et pas démontrer ce qui aurait été une hérésie, que les connaissances égyptiennes en matière d’astronomie étaient fabuleuses, ceci avec un nombre interminable de calculs « savants ». Après, une longue réflexion, j’ai fini par comprendre la méthode des « monstrations » de l’auteur pour ainsi la faire crouler. La mauvaise foi de cette méthode est parfaitement illustrée par la mesure de la hauteur de la pyramide de Kheops et la distance Terre-Soleil, en effet selon l’auteur du livre, les égyptiens connaissaient la distance Terre-Soleil et la hauteur de la dite pyramide en était un sub-multiple, fascinant et captivante lorsqu’on affirme que la pyramide est 1020588552 plus petite que la distance Terre-soleil, ce qui équivaut, selon lui, au nombre de pierre carrées, jaunes et triangulaires utilisées pour la construction des géants de Abou Simbel… ce qui prouve sans aucune doute que les égyptiens connaissaient la distance Terre-Soleil. Cette affirmation serait très intéressante si elle avait été écrite quelque part sur la pyramide ou dans un parchemin de l’époque, mais à l’époque où le livre a été publié, aux environs des années 70 si je m’en souviens bien, les deux données sont connues (aux environs de 149 597 870 km pour l’une et 146,58 m pour l’autre), ainsi tout élève brillant -car le numéros sont grands- d’école primaire peut découvrir ce merveilleux multiplicateur et puis essayer de noyer le poisson en le comparant à tout autre donnée.
J’ai la légère impression que beaucoup d’écrits pseudo scientifiques essaient de trouver une corrélation entre un modèle accepté comme vrai à l’heure actuelle (ex. la position des étoiles) et une description ancienne d’un certain phénomène ou connaissance ou rêve (une plaquette en argile). Mais lorsqu’on aura compris qu’une corrélation de deux évènements n’est pas une preuve pour une démonstration, tout ira mieux.

12:16 Publié dans Anecdote, Idées | Commentaires (0)

14/11/2010

Deauville

Hier en longent sur la rue de Rivoli à la hauteur du carrousel du Louvre, un charmant homme a croisé ma route l’espace de quelques secondes, cet homme m’a fait penser, de par ses habits, aux parisien qui prennent le train pour aller à Deauville un WE, ces hommes habillés avec un pantalon dockers couleur kaki, une chemise ou un polo coloré et un pull couleur pastel ou bleu marine, les cheveux châtains ou blond mi-long légèrement ondulés. Pour en trouver un exemplaire vivant il faut le chercher soit dans un train Paris Deauville, ou bien dans du 8è, 7è ou 16è arrondissement de Paris ou les quartiers huppés de toute autre ville –ça s’exporte assez bien- Cette vision furtive, a provoqué en moi une série d’émois, aboutissant à un fantasme, je m’imaginé, rouler une pelle à ce gars ressentir son haleine, passer mes doigts dans ses cheveux, entourer de me bras ses épaules pour le retourner et le plaquer contre un mur, une fois dans cette position, je décollerai ses fesse su mur en faisant cambrer son dos, ainsi je déferai sa ceinture, déboutonnerai son pantalon et baisserai sa braguette pour promener librement ma main sur son sexe par-dessus de ses sous-vêtements. Puis j’essayerai de reproduire l’image que j’ai eue en le croissant, baisser son pantalon et ses sous-vêtements d’un seul geste pour dévoiler ses fesses blanches et imberbes tout en maintenant prisonnière sa virilité par les vêtements. Et là je caresse d’une main ses fesses et de l’autre je prépare mon instrument pour accomplir mon fantasme, faire sentir à ce fils à papa le plaisir procuré par une chevauché, lu arracher de cris gutturales, le sentir se tortiller entre mes bras de façon à pousser ses fesse en arrière pour que mon sexe jouisse au plus profond de lui.

12:15 Publié dans Anecdote, Gay | Commentaires (0)

09/11/2010

Roles de canela

Londres est une vielle que j’aime, elle me paraît moins muséique que Paris, plu vivante que Berlin. Même si je me suis rendu 6 fois, je n’ai jamais réussi à bien manger à acheter un cinnamon rolls alors que les boutiques qui en proposent pullulent dans la capitale britannique. Je le fais pour une bonne et simple raison, les roles de canela sont ma madeleine de Proust mais une madeleine que j’aime manger après avoir vu l’orage, après avoir senti son odeur, après avoir ressenti le froid humide que laisse l’orage de 17h au moins de juillet.

Comme on peut s’en douter cette tradition date de mon enfance, là où j’ai grandi, une très trop grande mégalopole hispanophone à 2400m d’altitude flanquée par des monts et de montagnes, la saison de pluies d’étale selon les vieux ouï-dire de la fête de Saint Jean baptiste à celle de Saint François d’Assisse (autrement dit du 24 juin au 4 octobre), pour être moins précis il s’agit grosso modo de l’été, contrairement à la pluie d’hiver parisienne qui tombe sous forme de crachat continuellement pendant 3 mois, là bas, il fait bon de la levée du soleil vers 6h30 à 17h ou il commence à pleuvoir de façon orageuse pendant 30 minute ou une heure et puis c’est fini jusqu’au lendemain. Ainsi lorsque j’étais petit pendant les mois d’été, j’aimais m’asseoir en face de la fenêtre de ma chambre voir le pluie et les éclaires tomber et sentir le frisson des toners de la têtes au pieds. Une fois l’épisode orageux fini, par fois ma mère prenait un parapluie pour se protéger des dernières gouttes tombant des arbres et aller chez le petit épicier du coin acheter de roles de canela Bimbo., un pack de 6 sans glaçage (en fait c’est un gros gâteaux rectangulaire qu’on peut découper en 3*2 roles), à son retour elle partager cette friandise industrielle entre ma sœur, elle et moi. Elle servait deux roles par personne dans les assiettes bleues claire et foncé en plastique (qui ont fondues un jour à coté d’une casserole surchauffée), le dilemme de chaque après midi était de savoir qui entre ma sœur et moi allait prendre le deux roles du milieu, ceux qui avaient le moins de croute et étaient en conséquence plus moelleux, il fallait se souvenir qui avait été l’heureux chanceux la fois précédente qui ne s’était pas produit forcement la veille. Ma sœur ou mois jurions que c’était toujours l’autre qui l’avait pris mais ma mère faisant appelle à sa très bonne mémoire arrivait à garder l’alternance sans problème. Après d’innombrables fois où cette scène s’est reproduite, elle s’est tatouée dans mon esprit en tant que bon souvenir d’enfance.

12:13 Publié dans Anecdote | Commentaires (0)