16/08/2011
MenOBoy de XXX à XX-
Un passé de croissance stable….comme exposé précédemment les bases artistiques sont solidement posés, l’amélioration continuelle de la qualité du contenu et de la réalisation laisse présager une santé artistique stable …qui a permis la prise de quelques risques… en effet tenter de plaire à certaines niches du publique, spaking fans, footballer fans, tout en contentent un large publique par l’intégration de scènes moins ciblés dans ces productions, est un pari assez difficile à réussir. Il semble avoir été gagné lorsqu’on regarde l’envergure des projets annoncés depuis la sortie de ces volets dédiés à des sous-communautés …mais qui peuvent fâcher le public habituel…ainsi nous découvrons avec consternation la présence d’une scène pour le moins inattendue de la part de cette société de production, au sein d’une semaine spéciale hétéro ou les classiques Hétéro curieux et Double expérience pour un hétéro montrent le pouvoir qu’a l’argent sur les personnes, nous découvrons la « première vidéo hétéro réalisée par le Studio Menoboy » elle a été tournée sous prétexte que « Jessy Dog [ndlr le garçon montré dans cette scène] les a contacté afin de tourner une scène hétéro » pour après se laisser convaincre d’être le protagoniste de la prochaine grosse production hyper virile de la maison, Incarcération . Ce dérapage représente un choix contestable de la production néanmoins acceptable du point de vu marketing, cette opération entraînerait la création d’un image utravirile et justifié de l’acteur concerné et la capacité du studio a recruter le fantasme pur d’une partie de la communauté homosexuelle néanmoins , il est nécessaire au moindre signal de sanctionner cette alternative en dégradant la note de confiance artistique du studio en passant de XXX à XX- accompagnée d’un tendance incertaine.
08:35 Publié dans Film, Gay | Commentaires (0)
15/08/2011
Lien du Lundi XXXV
Hayden Kane by Uk Naked Men (NSFW)
08:13 Publié dans Lien du Lundi | Commentaires (0)
12/08/2011
Seiche gauchère
Parmi ces phrases que j’ai toujours cru vraies pour des raisons précédemment évoquées deux me sont venues à l’esprit : l’intelligence est héréditaire et les animaux n’agissent que par instinct. J’ai toujours aimé nuancer la première en disant que deux géniteurs reconnus intelligents ont plus de chances d’engendrer une enfant que sera reconnu intelligent mais ce dernier peut naître de deux personnes normales ou même bêtes, tout est une question de chance et de génétique. J’ai pendant des années défendu farouchement la deuxième car tous les exemples de vie animale que j’avais sous la main la démontraient. Plus tard mon raisonnement a été conforté lorsque j’ai eu écho des expériences du chien de Pavlov –le chien est conditionné pour réagir d’une certaine façon aux stimuli lui indiquant qu’il est l’heure de manger- ou bien des abeilles de Karl von Frisch –elle développent un certain langage pour indiquer le positionnement de la nourriture à leur congénères-. Ces deux études montrent que les animaux ne peuvent développer une certaine intelligence que pour subvenir à leurs besoins primaires. Ils ne seront pas capables de produire une connaissance pour le simple plaisir d’apprendre ou d’expliquer un phénomène. Mais la science étant fondée sur la remise en cause perpétuelle de ce qu’on sait déjà, depuis quelques années des nouvelles recherches tentent de montrer que les animaux qu’on ne peut pas encore qualifié d’intelligents au moins savent apprendre et nous le savons (il serait intéressant de savoir s’ils savent que nous savons qu’ils savent apprendre). Ainsi, une variété de céphalopode, mieux connue sous le nom de seiche, naît sans être latéralisé et sans savoir se camoufler, c’est tout au long de sa jeunesse et grâce aux essais erreurs commis qu’elle reconnaît son côté de prédilection et excelle dans l’art de la dissimulation. Ces êtres relativement simples, certainement bien moins complexes que les mammifères ont de processus cognitifs suffisamment développés pour qu’on puisse dire qu’ils apprennent, on pourrait rétorquer qu’ils n’apprennent qu’à se camoufler et donc une méthode pour subvenir à l’instinct premier de survie mais la latérisation leur sert à quoi ? Finalement tout ce qu’on met dans nos assiettes, nous tient compagnie ou nous émerveille en plaine nature n’est peut-être pas si bête qua ça.
08:05 Publié dans Le saviez vous, Science | Commentaires (0)
11/08/2011
Paon español
Assis devant cette énorme bibliothèque, tout petit je cherchais à regarder toujours la même chose placée selon les saisons et les humeurs en haut, en bas ou derrière les portes. Ce n’était pas un des grands classiques de la littérature reliés en cuir décorés aux lettres dorées ni ce monument monstrueux en quatre volumes de la Manche dont je ne veux pas me rappeler le nom. Par fois, un livre de physique ou électronique des années 60 passait avant l’exemplaire tant désiré. Lorsqu’un de tomes était entre mes mains je feuilletais délicatement les pages où des reproductions en papier satiné colorées avaient été collées sur la gravure en blanc et noir imprimé sur du papier gris. Une nature morte avec un lapin ou un agneau, je ne sais plus, ensanglanté provoquait un frison sur tout mon corps précipitant ma quête, de temps en temps une scène encore plus morbide et macabre interpellait mes yeux innocents, Saturne avide de la chair de sa chair me glaçait m’obligeant à sentir la folie dans ces yeux et puis grâce à l’automatisme du passage des pages, j’arrivais à l’image tant désiré remplie de couleurs de gaîté, de réalisme et d’émerveillement.
Environ 20 ans plus tard et avec 20°C en moins, je me suis retrouvé presque à l’aube d’une belle et fraîche journée d’hiver à faire la queue sur cette promenade qui ne mène à aucun pré. La bataille n’était pas gagné d’avance, mon gentil hébergeur-guide-de-touriste-estomac-sur-pattes m’accompagnant partout où je voulais aller a une tendance naturelle à s’exaspérer devant les ouvres qu’il ne comprend pas. Ainsi, avec un rythme plus que soutenu j’ai dû apercevoir et me souvenir des œuvres qui avaient feuilleté mon enfance et découvrir celles qui créeraient un nouvelle souvenir. J’ai ressenti une tristesse profonde lorsqu’en arrivant à la dernière salle, je ne l’avais pas vu, j’ai cru d’abord que les couleurs de sa grande queue déployée n’avaient pas retenu mon attention passant inaperçus à côté de l’éclat du sanctoral Greco-espangol, la patience de mon accompagnateur étant grignotée pas sa faim, nous nous somme précipités à l’accueil pour entendre « Eza pintura no ezta en exhibizion, la coleczion ez… »* j’ai pas entendu la fin de la phrase pour savoir qu’il faudrait que je retourne un jour dans la capital de la mère patrie.
*lez ezpagnols adorent zozoter, traduczion « Cette peinture n’est pas exhibée, la colection est… »
08:54 Publié dans Anecdote, Voyage | Commentaires (0)
10/08/2011
Une pêche d’enfer
Un poisson peut désigner symboliquement le christianisme, il est normal de le voir ainsi car le pêcheur qui l’a enlevé du fond de la mer l’a aussi arraché à l’enfer. A une époque la mer était si inconnue qu’elle était remplie de monstres avides de sang humain torturant et mangeant sans crainte ni vergogne tous les hommes qui y tombaient, un peu comme en enfer lorsqu’on a passé son temps à faire de mauvaises choses : manger de plats fins sans partager, vouloir du mal aux autres, mentir en niant l’existence de(s) Dieu(x) ou pire aimer tous jolis garçons aux larges épaules et aux fesses bombées lorsqu’on est un homme… à cette époque tous les gens qui pratiquaient une ou plusieurs de ces débauches allaient droit en enfer au moins d’acheter une place au paradis au près de Sa Sainteté qui évidement avait l’autorisation écrite et divine de faire un commerce céleste. Supposons qu’on avait pas les moyens financiers de s’assurer une place dans le nuages côté hublot, que notre raison et notre cœur nous aient conduit à aimer les plaisir de la chair des chers mâles ou bien tout autre pêché aux yeux de l’autorité divine et que cette dernière existe vraiment, on se retrouve alors en enfer où l’on est châtié ad vitam æternam. L’âme étant à la base de sa sensibilité du corps dans cette logique là, elle se retrouve torturée comme un corps, or le corps lorsqu’il est soumis à continuellement à des supplices s’habitue d’une certaine forme, ainsi ces châtiments deviennent de moins en moins efficaces, au de-là d’un certain temps, inférieur à l’éternité, l’âme ne peux plus être torturée et donc l’enfer devient un endroit comme les autres. Etrange conclusion. Il faut que j’arrête de lire de livre bizarres qui me donne des idées farfelues
08:10 Publié dans Autres idées | Commentaires (3)