01/12/2011
SexyXmas
Le décompte chocolaté qui fait rêver tous les enfants commencera aujourd’hui pour la première fois. J’ai du mal à imaginer un enfant ravi à l’idée de découvrir chaque jour un chocolat derrière une caisse à peine caché dans un calendrier, -à la limite, s’il y avait des caisses avec et d’autres sans chocolat, le suspense vaudrait la peine-. Et pourtant, j’ai succombé, le décor hivernal, les cadeaux respectant scrupuleusement la charte graphique fixée par le marketing noëlien, les 24 caisses dans le désordre, les chocolats (dénoncés par l’odeur et le bruit) sont présentes, un ange descendu du ciel et trois lutins complètent le tableau.
16:44 Publié dans Mes petits plaisirs | Commentaires (2)
29/11/2011
Alaska
Ni toi, ni personne
Tu fais très mal
Faisant monter ma tension
Ecrasant mon ambition
Continue ainsi, tu verras
Je regarde l’horloge
Il est beaucoup plus tard qu’hier
Je t’attendrai encore une fois
Je le ferai pas, je le ferai pas
Où est notre erreur sans solution ?
Le coupable, était-ce toi ? était-ce moi ?
Ni toi ni personne, personne peut me changer
Mille cloches résonnent dans mon cœur
Il est difficile de demander pardon
Ni toi ni personne, personne peut me changer
Va-t’en d’ici
Tu n’as pas su comprendre
Je ne pense qu’à ton bien
Il n’est pas nécessaire de mentir
Il est simple de se torturer après
Mais je survivrai
Je sais que je pourrai, je survivrai
Où est notre erreur sans solution ?
Le coupable, était-ce toi ? était-ce moi ?
Ni toi ni personne, personne peut me changer
Mille cloches résonnent dans mon cœur
Il est difficile de demander pardon
Ni toi ni personne, personne peut me changer
Une page web perdue dans les méandres de ce dernier m’a fourni une information qui m’a scotché. Une des deux premières chansons que j’ai aimée dans ma vie, celles qu’on aime lorsqu’on a 2 ou 3 ans, est un hymne de la communauté gay (cf. parole infra), je me suis empressé de l’écouter attentivement, peut être pour la première fois, il n’y a pas l’ombre d’un doute elle était bien dédiée à ce destin. Mais quelque chose me gênait dans tout ça, il lui manquait mon morceau préféré, je n’entendais pas les cloches ni le fameux « Qui s’y intéresse » que j’ai massacré à tue-tête pendant les années de mon enfance. Le travail de mémoire n’a pas été évident mais il a abouti, pendant 24 ou 25 ans mon cerveau a mélangé deux chansons de la même période et de la même chanteuse me faisant croire qu’il n’y avait qu’une. Manque de bol, la deuxième (cf. paroles supra) qui n’a pas une vraie vocation d’hymne gay peut être largement interprétée comme « une chanson gay » -j’aurais bien voulu faire un commentaire composé sur les paroles de cette chanson, mais étant donné qu’au lycée j’ai toujours été nul dans cet exercice, je vais éviter de détruire ma crédibilité-. Clin d’œil du destin ? Coïncidence pure et simple ? je ne sais pas mais ce n’est pas la première fois que je vois une coïncidence comme celle-ci…
Qui s’y intéresse
Les gens mes désignent
Me montrent du doigt
susurrent dans mon dos
et moi je m’en fous
Je ne m’intéresse pas
si je suis différent à eux
je n’appartiens à personne
je n’ai pas de propriétaire
je sais qu’il me critiquent
je suis sûr qu’ils me détestent
l’envie les consomme
ma vie les accable
pourquoi ?
Je ne suis pas coupable
ma condition les insulte.
mon destin, je le choisi
celui que je décide pour moi
qui s’intéresse à ce que je fais ?
qui s’intéresse à ce que je fais ?
je suis comme ça je ne changerai jamais
qui s’intéresse à ce que je fais ?
qui s’intéresse à ce que je fais ?
je suis comme ca,
je continuerai ainsi,
je ne changerai jamais
peut être la faute est mienne
car je ne suis pas la norme,
il est trop tard
pour changer maintenant
je resterai
ferme dans mes convictions
diffuserai mes positions
.
Mon destin, je le choisi
celui que je décide pour moi
qui s’intéresse à ce que je fais ?
qui s’intéresse à ce que je fais ?
je suis comme ca je ne changerai jamais
qui s’intéresse à ce que je fais ?
qui s’intéresse à ce que je fais ?
je suis comme ca je ne changerai jamais
qui s’intéresse à ce que je fais ?
qui s’intéresse à ce que je fais ?
je suis comme ca je ne changerai jamais
11:40 Publié dans Autres idées, Musique, Questionnements | Commentaires (0)
28/11/2011
Lien du Lundi L
Le couple pafait à Hambourg, Jai Courtney et Andy Whitfield, même en vrai
09:42 Publié dans Lien du Lundi | Commentaires (0)
25/11/2011
Virtuel
Peu de fois je n’ai pas été moi-même, parfois j’ai insisté sur un côté de ma personnalité ou omis de citer certains aspects. Les conversations avec trois mots monosyllabiques ont été, sont et seront toujours plus nombreuses, il faut bien beaucoup de feuilles pour faire un beau champignon. Ces derniers se fanent un jour ou un autre car l’inspiration et la volonté qui les nourrissait disparaît. Ils ont heureusement laissé un goût délicat, le parfum qui a accompagne certains moments de solitude.
18:01 Publié dans Confession | Commentaires (0)
24/11/2011
48 images immortelles
L’œil n’a besoin pour identifier un mouvement que de 24 images par seconde, lorsqu’il s’agit de montrer les muscles saillants d’Henry Cavill ou de Kellan Lutz en 3D, il en faut le double grâce à notre vision stéréoscopique. Dans ce chef d’œuvre du péplum digital, le sang et les dieux découvrent l’élasticité einsteinienne du temps, le metteur en scène a le mérite d’avoir découvert qu’après une explosion -à laquelle on survit miraculeusement- les tympans sont endommagés et que pour tuer quelqu’un il suffit de lui couper l’aorte et la vaine fémorale pour qu’il se vide de son sang en 2 ou 3 minutes -le guerrier peux ainsi économiser ses force pour couper les corps suivants en deux ou trois morceaux avec son épée-. On découvre aussi une belle incursion d’un concept de la cosmogonie nordique -les dieux ne sont ni immortelles ni toujours vainqueurs- pourquoi pas, de toute façon le publique à qui est destiné ce film ne pas censé connaître ces nuances –ni la mythologie grecque, sinon on s’arrache les cheveux- Ce qui me ramène à Henry Cavill et Kellan Lutz, le publique cible ne peux pas succomber à leur arguments, alors pourquoi ils sont là ? Pour faire joli ? Plaisir au 6% des hommes qui s’y intéresse* ? ou parce que les hommes hétéro aiment voir à quoi ils pourraient ressembler après 10 ans de musculation et privations alimentaires ? Je ne comprendrais jamais cet argument, quel plaisir ils y trouvent ? Est-ce la preuve qu’au fond d’eux un homo sommeille ? –je l’espère pour certains d’entre eux, mais pas pour celui qui a fait ch%er avec son iphone pendant toute la séance-
*les femmes sont écartées à cause du trop plain de sang et du manque de sentiments dans le film
19:23 Publié dans Autres idées, Film, Questionnements | Commentaires (0)